Nombre de messages : 21728 Date d'inscription : 12/06/2008
Sujet: Re: Pete Sampras Sam 14 Juin - 21:51
mattowitch a écrit:
Je vois que vous reprenez vos bonnes vieilles habitudes
mattowitch
Nombre de messages : 2857 Age : 37 Date d'inscription : 12/06/2008
Sujet: Re: Pete Sampras Dim 15 Juin - 9:10
Vydev a écrit:
mattowitch a écrit:
Je vois que vous reprenez vos bonnes vieilles habitudes
Oui, on a passé des moments mythiques avec ce JL, un duel de près de 4h
Invité Invité
Sujet: Re: Pete Sampras Sam 21 Juin - 11:05
Sampras: "When Roger Breaks My Record, I Want To Be There" http://www.30love.net/#openVideo-YmxhY2tyb2NrX3RvdXJfb2ZfY2hhbXBpb25zLjEyMTM4NTQxNTA1NjQ=
Vidéo de Pete
Vydev Grand gourou à poil roux
Nombre de messages : 21728 Date d'inscription : 12/06/2008
Sujet: Re: Pete Sampras Mar 24 Juin - 9:35
Sampras se confie à l’Equipe
Dans une interview accordée à notre quotidien préféré ce lundi, Pete Sampras fait quelques révélations notamment sur le matériel et sur les ténors qui règnent sur le circuit, un vrai bijoux, on vous donne les meilleurs extraits pour ceux qui n’ont pas un kiosque à côté de chez eux.
Sur le fait qu’il n’est jamais voulu changer de matériel durant sa carrière
J’aurai du essayer de nouvelles technologies, une plus grande raquette, d’autres cordages, en boyau par exemple…j’aurai du expérimenter ça. J’utilise ce matériel aujourd’hui et j’aurai dû le faire beaucoup plus tôt, spécialement pour jouer sur terre battue. La raquette avec laquelle je jouais était difficile, très petite, les cordes trop rapprochées. J’aurai du être ouvert plus à ça.
Sur l’évolution du tennis
La technologie a rendu le jeu plus rapide. Les gars frappent la balle de plus en plus fort du fond court. Ma génération possédait différentes sortes de joueurs, des serveurs volleyeurs, des gars qui restaient derrière et beaucoup plus de vainqueurs de Grand Chelem. Aujourd’hui vous avez Roger, Rafa et Djoko. Ce sont les meilleurs. Les autres sont dans un autre bateau.
Sur Nadal
Je ne l’ai jamais vu jouer en live, mais il a une belle attitude, un super jeu, c’est l’un des meilleurs au niveau des déplacements et il se bat dur. C’est un joueur spécial. Même s’il a grandi sur terre battue, il joue à Wimbledon avec une super attitude.
Sur Federer
Quand on est numéro 1 mondial, on exige beaucoup de vous. Moi, j’avais tendance à mettre une distance. Lui est beaucoup plus ouvert. Pour toutes ces raisons, j’aimerai le voir battre mon record.
http://www.welovetennis.fr
Ando
Nombre de messages : 46 Date d'inscription : 13/06/2008
Sujet: Re: Pete Sampras Mer 25 Juin - 21:34
Il a perdu en exib contre Rios 7/6 au 3eme set
Vydev Grand gourou à poil roux
Nombre de messages : 21728 Date d'inscription : 12/06/2008
Sujet: Re: Pete Sampras Mer 23 Juil - 11:22
Quelqu'un a lu le bouquin de Sampras ? Voici une critique parue sur Sportvox...
Pete Sampras : a champion’s mind Je lis rarement plus d’un livre par an, et le cru 2008 aura heureusement été du meilleur tonneau. Je me suis plongé avec passion et délectation dans l’autobiographie de Pete Sampras, "A Champion’s Mind", coécrite avec le journaliste américain Peter Bodo. Un livre qui m’apparaît finalement comme le reflet du champion qu’il raconte: direct, simple, franc et efficace. Un livre surtout qui m’a réconcilié avec le tennis et ses peines - écorché que j’étais depuis le typhon de Roland Garros et le Tsunami de Wimbledon - en m’offrant un œil nouveau pour un regard plus nuancé et moins passionnel sur ce qu’est la vie d’un champion.
Le palmarès de Pete Sampras est connu de tous et la plupart des anecdotes qu’il raconte ont fait les choux gras de nombreux canards à l’époque. Je ne vais pas vous faire un résumé du livre qui serait sans intérêt, mais davantage coucher sur papier les quelques réflexions qui s’imposent à moi à la lecture de cet ouvrage passionnant. De l’art d’accoucher les champions
Si l’on appliquait au tennis la maïeutique, ou art de faire accoucher les esprits, le Socrate de Pete Sampras s’appellerait Peter Fisher. C’est cet homme qui aura repéré le jeune garçon et décelé le talent qu’il couvait, qui aura eu une vision directrice à laquelle il restera fidèle et surtout, fera adhérer son protégé grâce une confiance inouïe de maître à disciple: faire de Pete Sampras le prochain Rod Laver.
Le façonnement et l’éclosion d’un champion sont la combinaison de plusieurs facteurs, dont le talent n’est pas des moindres. Le talent est un plus, mais il faut plus que le talent. Sampras avait le talent, le geste inné, ce qu’il appelle lui-même "the gift". Le cadeau, le don. Ce terme pourrait paraître prétentieux dans la bouche d’un autre, mais pour ceux qui l’auront vu raquette en main, il n’est que l’honnête constat de ce que le jeune homme avait: un don.
Sampras a eu très tôt conscience de son don, et surtout en a pris conscience tout seul. Il n’est pas un de ces kids boutonneux à qui l’on répète à l’envie qu’ils sont doués. Il n’a pas eu besoin de sirènes dont on sait que les chants, s’ils sont divins à l’oreille, sont le plus sûr chemin vers les récifs et autres écueils qui coulent les embarcations trop hardies. Sampras croyait en lui, sans arrogance, sans défiance, et ce dès son plus jeune âge.
En plus du talent et de la foi en soi, la foi en ceux qui entourent et guident le champion sont essentiels. Pete Fisher avait un objectif, un graal, qui était de façonner l’ultime attaquant, le Laver des temps modernes. Il a tracé une voie qui a été perpétuée ensuite par Joe Brandy, Tim Gullikson, puis Paul Annacone. Comment ce modèle a-t-il pu passer de coach en coach sans se dénaturer? Il y a eu une constante, le joueur. Joueur qui a adhéré au modèle, a cru en la vision de son coach, a eu CONFIANCE. Cette dernière notion est fondamentale dans ce qu’elle détermine pour beaucoup la réussite de la relation coach/joueur.Quand Sampras abandonne à 16ans son revers à deux mains et sa sécurité pour un revers à une main qu’il ne maîtrise pas, il subit le contrecoup de plein fouet notamment en étant régulièrement cul-botté en tournois par son Némésis d’alors, un certain Michael Chang. Sans céder au découragement ni à la panique, il fait fi des résultats médiocres, ravale son égo heurté par des défaites à répétition contre des rivaux matés jusque là.
L’objectif n’a jamais été la victoire... à court terme. Il le dit lui-même, les défaites s’accumulent mais ne sont qu’une étape dans la réalisation de son objectif: arriver au sommet avec un schéma de jeu bien précis, long à mettre en pratique. Je ne peux m’empêcher de faire le parallèle avec ce même Michael Chang ou un Leyton Hewitt, rapidement titrés, mais finalement rassasiés et obligés de quitter la table dès après les entrées.Sans cette foi en soi, en son coach et en un projet commun, une telle abnégation sans découragement ne serait tout simplement pas possible. Etre le meilleur a toujours été un objectif, jamais un rêve.
La famille-orchestre Sampras aura joué sa partition avec application, avec Gus le père dans le rôle d’Herbert Von Karajan. Se sachant limité et peu au fait de la chose tennistique, il délègue tous les pouvoir à Fischer pour façonner le bambin doré. Pas de père abusif, intrusif, compulsif et finalement nocif. Le petit Pete aura tout le loisir de grandir son tennis, et lui-même avec, sans pression aucune de la part de parents avides de succès par procuration, ou de retour sur investissement. L’enfant n’aura jamais été poussé, simplement encouragé et supporté. Son désir de réussir, son amour du tennis et son goût pour le travail bien fait étaient des comburants suffisants à l’explosion de son talent. Les valeurs familiales de simplicité, d’honnêteté, de dureté au mal et dans l’effort seront également de précieux atouts. Cet équilibre familial et cette ligne verte tracée entre vies professionnelle et familiale aura également joué un rôle déterminant dans ce qui devient la formule mathématique du succès dans le façonnage d’un champion de tennis. Un savant dosage de talent, de volonté, de foi, de vision, d’équilibre psychologique, de travail, d’harmonie familiale, d’épanouissement. Pete Sampras aura bénéficié de tout ça. La complexité de la recette donne une perspective toute autre du résultat final, dont on se rend compte qu’il ne doit rien, vraiment rien au hasard.
Des Safin, Philippoussis, Medvedev ou leur descendant probable Gulbis possèdent certains de ces éléments mais il leur manque surtout l’implication.
Des Lendl, Courier, Hewitt ou Djokovic ont la rigueur, l’implication, mais n’auront peut-être pas eu tout le talent.
Comment ne pas penser à ces enfants stars, poussés sous les projecteurs par un talent certain et des parents incertains? Gus Sampras ne connaissait rien au tennis et s’est donc contenté de l’intendance et de donner à son fils tout le support matériel et affectif nécessaires. Le modèle des papas Gasquet, Bartoli, Dokic et j’en passe n’est-il pas voué à l’échec? Le simple fait que le père de Richie soit prof de tennis représente une chape de plomb insurmontable. Peut-il en être autrement de cette histoire, que de celle d’un père qui essaye de faire de son fils le prochaine Mozart dans un art ou lui-même aura été un médiocre Salieri? L’enfant prodige aura-t-il seulement le choix? Servir de caisse de résonnance pour les rêves frustrés de parents apprentis sorciers ne sera jamais un passeport pour le bonheur et une vie équilibrée, qui sont pourtant des conditions sine qua non pour arriver au sommet. Les champions, des hommes comme nous
Devant nos claviers, nos écrans de télé, nos quotidiens sportifs et autres magazines, nous sommes des fans virtuels de sportifs tout aussi virtuels. La victoire d’un Federer à Wimbledon, d’un Rossi à Laguna Seca, le triomphe de nos équipes nationales de foot ou de basket sont autant d’occasions - trop rares - de vibrer de bonheur. On se passionne pour le sport, les sports. On adopte des champions pour diverses raisons pas souvent objectives, et on leur confie un double des clés de notre petit bonheur personnel, à charge pour eux de le remplir à coups de victoires que nous vivons par procuration. Aucun amateur de sport n’y échappe, même les plus blasés quoi qu’ils en disent. On aime le sport, on aime les sportifs, on aime les équipes. Et dans amour il y a "...mo...r...", de cette petite mort qu’on ressent à chaque défaite et qui nous plonge dans des états parfois dépressifs. Alors on refait le match, nous qui savons tellement ce qu’il y aurait eu lieu de faire et comment le faire. Car c’est bien certain, tout ceci est tellement facile.
La virtualité de nos passions passe sous silence à notre entendement une réalité pourtant fulgurante: le sportif est un être humain. Comme nous il est fait de chair et de sang, de sueur et de larmes, de joies et de peines. Même si certains ont poussé la systématisation de la "bonne nouvelle" qu’ils nous apportent quand on ouvre l’Equipe à des cimes très élevées en gagnant pratiquement tout sur certaines périodes, ces sportifs d’exception n’en demeurent pas moins des mécaniques extrêmement complexes évoluant dans une tempête de sable. Un grain a tôt fait de gripper le tout.
Parmi toutes les défaites de Pete que j’ai vécues alors comme des meurtrissures, nombre s’expliquaient par des facteurs que le fan aveugle ne peut, ne veut voir. Le champion doit gagner, s’il ne le fait pas pour lui, au moins qu’il le fasse pour nous. Que notre lecture de l’Equipe soit plus agréable. Les blessures physiques si fréquentes et pas toujours annoncées - j’apprends que Pete souffrait de nombreux maux sur lesquels il ne s’est jamais appesanti - les blessures à la l’âme à propos desquelles nos chers adorés communiquent encore moins, la fatigue, le stress, les conditions de jeu et le feeling spécial qu’on a par rapport à certains tournois, bien des facteurs qui, analysés à l’aune d’un milieu ultra-compétitif, ne rendent la victoire que plus belle et admirable.
Chacune des défaites de Pete aura eu une explication. Qu’il s’agisse de facteur endogènes comme ceux cités précédemment, ou de facteurs hexogènes: un joueur tout simplement meilleur que lui ce jour-là. Le grand champion ne s’est pas dérobé et a reconnu comme telle chacune des corrections qu’il a prises, ne cherchant pas à se justifier au-delà des faits réels. Pas de bobo simulé. Pete n’a jamais volé un point sur un court, même dans l’enfance. Et c’est avec cet esprit qu’il a su analyser ses défaites et les classer.
A la lecture de cet ouvrage on prend conscience des exigences de ce milieu, de la bataille permanente contre les forces adverses, et pire encore, les forces émergentes contre lesquelles on se rend compte que petit à petit, Chronos prélève sa dîme. Lorsqu’il évoque Hewitt, Safin, Roddick puis Federer, il avoue avec honnêteté sentir le poids des années. Il trace un parallèle touchant et cru de vérité entre le Sampras insouciant et létal de Flushing Meadows en 19990, et le Safin de 2000. Mais il n’est alors plus Pete Sampras en 2000, il est Ivan Lendl et John McEnroe en 1990. Un homme qui vieillit.
Et comment ne pas mentionner la formidable pression de la chasse aux records? Quand se présente l’opportunité d’égaler puis dépasser Roy Emerson et devenir le joueur le plus capé en Grand Chelem, ou de faire mordre la poussière à Jimmy Connors, cinq fois de suite numéro un en fin d’année? Contre les adversaires, contre un corps qui s’essouffle, contre une volonté qui s’érode, Pete aura jeté ses dernières forces dans les ultimes batailles qu’il aura choisies.Poussé à la retraite par des journalistes et un public en quête de sang neuf, lâché même pas son équipementier Nike pour des jeunes joueurs en devenir, il saura résister et partir en respectant le vœu cher à sa femme: go in his own terms, comme lui le Champion l’aura voulu.
Qu’il s’agisse de la mort de son coach et confident Tim Gullikson, de ses problèmes de santé, de la pression de la compétition (vivre comme il dit avec une cible tatouée sur le dos) on prend conscience de l’effroyable étau que représente la vie d’un athlète de haut niveau, dominateur dans sa discipline. Si pour moi les six années consécutives qu’il aura terminées à la première place mondiale était un record "intéressant", je prends désormais conscience du côté Himalayen de la tâche et n’en admire que plus cet homme si grand, sur et en dehors du court.
Réconciliation avec Roger Federer
Je pourrais aussi bien titrer réconciliation avec tout sportif de haut niveau dont une défaite m’aura heurté. Cette plongée dans l’univers d’un champion comme Pete Sampras aura eu le mérite de m’ouvrir davantage les yeux sur l’énormité et la complexité de la tâche. Depuis les premiers pas raquette en main, jusqu’à brandir un quatorzième et dernier titre en Grand Chelem. Qui suis-je, moi le fan transi, pour oser ne pas me remettre de la double défaite Roland Garros/Wimbledon de Roger? Ma vision de leur réalité avait la précision d’une toile cubiste; sans prétendre qu’elle vaille désormais 9.2 megapixels, je me rends compte à quel point ce qu’a pu accomplir un Federer est formidable - qu’il étoffe encore son palmarès ou pas - et aussi à quel point il est normal, voire essentiel qu’il subisse à son tour les outrages du temps et de la concurrence de ses pairs et l’hostilité du milieu. Cette lecture aura eu un effet cathartique certain et m’aura réconcilié avec le tennis passionnant, en lieur et place du tennis passion. A tous les fans de Pete, voire de tennis, cet ouvrage vous fera un bien fou et caressera votre amour pour la petite balle jaune dans le sens du poil.
http://www.sportvox.fr
Baghdalbandian
Nombre de messages : 25504 Age : 39 Date d'inscription : 15/06/2008
Sujet: Re: Pete Sampras Mer 23 Juil - 11:26
Je sais pas si je lirai, ça m'étonnerait même si ça peut être intéressant. Ya quelques années, j'avais parcouru vite fait "Ma vie de gaucher" d'Henri Leconte. C'était marrant
Vydev Grand gourou à poil roux
Nombre de messages : 21728 Date d'inscription : 12/06/2008
Sujet: Re: Pete Sampras Mer 23 Juil - 11:44
Je pense que je le lirai à l'occasion, mais pas tout de suite
KID 91
Nombre de messages : 7828 Date d'inscription : 13/06/2008
Sujet: Re: Pete Sampras Mer 23 Juil - 13:25
Vydev Grand gourou à poil roux
Nombre de messages : 21728 Date d'inscription : 12/06/2008
Sujet: Re: Pete Sampras Mer 23 Juil - 13:26
J'attendais ta réaction
KID 91
Nombre de messages : 7828 Date d'inscription : 13/06/2008
Sujet: Re: Pete Sampras Mer 23 Juil - 13:29
Bien écrit, mais j'aime pas Yoda
00-sampras-00
Nombre de messages : 224 Age : 33 Date d'inscription : 03/08/2008
Sujet: Re: Pete Sampras Lun 4 Aoû - 18:14
Pete Sampras ... capable de tout, même de breaker les meilleurs en restant au fond de court Quel service, quelle volée, quel jeu !!
Talk Nerdy
Nombre de messages : 558 Date d'inscription : 15/06/2008
Sujet: Re: Pete Sampras Lun 4 Aoû - 23:46
Talk Nerdy
Nombre de messages : 558 Date d'inscription : 15/06/2008
Sujet: Re: Pete Sampras Lun 4 Aoû - 23:48
KID 91
Nombre de messages : 7828 Date d'inscription : 13/06/2008
Sujet: Re: Pete Sampras Lun 4 Aoû - 23:49
Talk Nerdy
Nombre de messages : 558 Date d'inscription : 15/06/2008
Sujet: Re: Pete Sampras Lun 4 Aoû - 23:52
KID 91
Nombre de messages : 7828 Date d'inscription : 13/06/2008
Sujet: Re: Pete Sampras Lun 4 Aoû - 23:55
C'est arrivé une deuxième fois
Talk Nerdy
Nombre de messages : 558 Date d'inscription : 15/06/2008
Sujet: Re: Pete Sampras Lun 4 Aoû - 23:59
daccord... bien reçu, j'y cours tout de suite
KID 91
Nombre de messages : 7828 Date d'inscription : 13/06/2008
Sujet: Re: Pete Sampras Mar 5 Aoû - 0:01
Talk Nerdy
Nombre de messages : 558 Date d'inscription : 15/06/2008
Sujet: Re: Pete Sampras Dim 24 Aoû - 0:09
mattowitch
Nombre de messages : 2857 Age : 37 Date d'inscription : 12/06/2008
Sujet: Re: Pete Sampras Ven 12 Sep - 18:55
pitou
Invité Invité
Sujet: Re: Pete Sampras Lun 20 Oct - 12:02
J'ai mis du temps à admettre que Sampras est sans doute le meilleur joueur de tts les temps pour l'instant ( record GC et semaines n°1) Bien sûr Fed est plus complet, ça crève les yeux... mais je commence à peine à réaliser que ce qu'a fait ce mec est énorme !
Dernière édition par Remember_el_Aynaoui le Lun 20 Oct - 20:05, édité 4 fois
Invité Invité
Sujet: Re: Pete Sampras Lun 20 Oct - 12:05
PeteSampras
Nombre de messages : 576 Date d'inscription : 14/06/2008