Finale · Nadal - Federer · Le choc des titans

tu expliques comment sa défaite à RG 06 si ce n'est par sa défaillance mentale vdd ?

vdd a écrit:

Remember_el_Aynaoui a écrit:

Le suisse fait dans son froc quand il rencontre Nadal, c'est tout bête mais c'est comme ça et c'est un fan de Fed qui te le dit.

Mais non. S'il faisait dans son froc, il aurait pas gagné des matchs en 5 sets face à lui. Leurs combats sont toujours accrochés, mais Nadal a une sécurité dans le jeu qui l'oblige à être excellentissime partout et c'est de pire en pire au fur et à mesure qu'il prend de l'âge. Après, attention, il est pas mort. Sur cet AO je l'ai trouvé bien meilleur qu'au dernier US Open par exemple.

4 défaites en 2006 alors qu'il avait la forme de sa vie, on pourra en débattre jusqu'au petit matin mais y'a clairement un truc mental qui le bloque alors qu'il menait plusieurs fois au score dans les sets.

Highlights de la finale

... WTF?

Remember_el_Aynaoui a écrit:

tu expliques comment sa défaite à RG 06 si ce n'est par sa défaillance mentale vdd ?

Elle était du coté de Nadal la défaillance...

Pour sa première finale contre Federer, Nadal a eu du mal a rentrer dans le match, une fois qu'il était dedans c'était fini.

(C'est du Marc Dorcel dans le texte...)

Blondin a écrit:

Remember_el_Aynaoui a écrit:

tu expliques comment sa défaite à RG 06 si ce n'est par sa défaillance mentale vdd ?

Elle était du coté de Nadal la défaillance...

Pour sa première finale contre Federer, Nadal a eu du mal a rentrer dans le match, une fois qu'il était dedans c'était fini.

(C'est du Marc Dorcel dans le texte...)

Nadal est rentré dans le match quand Fed s'est arrêté de jouer à 1/1 30/0 je crois dans le 2e set, c'est ce qu'on appelle mouiller

Peut-être que tout simplement, Federer a été rattrappé par l'enjeu de faire un GC sur 2 saisons. Le poid de l'histoire ça pèse. Et mine de rien, ce match était équilibré. Pour moi les défaites de 2006 sont claires: Nadal était plus fort sur terre. D'ailleurs à Wimbledon, Federer lui colle un 0 d'entrée et au Masters il gagne en deux petits sets, le lift de Nadal jaillissant moins haut sur son revers. C'est tennistique tout ça avant tout, même si l'accumulation des défaites a aussi un rôle.

vdd a écrit:

Peut-être que tout simplement, Federer a été rattrappé par l'enjeu de faire un GC sur 2 saisons. Le poid de l'histoire ça pèse. Et mine de rien, ce match était équilibré. Pour moi les défaites de 2006 sont claires: Nadal était plus fort sur terre. D'ailleurs à Wimbledon, Federer lui colle un 0 d'entrée et au Masters il gagne en deux petits sets, le lift de Nadal jaillissant moins haut sur son revers. C'est tennistique tout ça avant tout, même si l'accumulation des défaites a aussi un rôle.

tous les matchs entre Fed et Nadal ont un énorme enjeu et c'est l'espagnol qui sort vainqueur de ce duel psychologique à chaque fois ou presque.

Bon, de 2005 à 2007, l'essentiel des grosses rencontres ont lieu sur terre où Nadal est incontestablement le plus fort. Résultat des courses, Federer est toujours celui qui l'accroche le plus mais qui perd au final (hormis celle d'Hambourg tout de même). Sur gazon, Federer s'en sort à chaque fois et au Masters c'est deux boucheries pour Federer. En 2008, Federer, comme tout le monde à 27 ans, régresse un peu, en face, Nadal lui est au top de sa forme (22-23 ans c'est le top pour un précoce, cf Becker par exemple), quoi de plus logique que Nadal passe devant et devienne intouchable par Federer. Le mariage des jeux lui est favorable (il l'a toujours été) et le moment de la carrière aussi. Ce qui fausse leur H2H c'est le fait que Federer était A CHAQUE FOIS au rendez-vous sur terre et que Nadal, lui, n'y était JAMAIS sur rapide (sauf au Masters où il prend 2 pilules). Alors que le poid des défaites joue un peu sur les points cruciaux, je veux bien, mais qu'on résume ça à une défaillance mentale de Federer je suis pas d'accord. D'autant que pour dominer comme il l'a fait, Federer est assurément l'un des 3 plus gros mental de l'histoire avec Sampras et Borg.

Moi ma théorie c'est que Fed craint Rafa car il perd ses moyens quand il est mis en difficulté et explose par la suite.

Là où je te rejoins c'est que d'un côté Fed régresse partout et de l'autre Nadal progresse partout, illustration :


TB : 2006 = Fed mène un set à zéro...2007= Fed égalise à un set partout puis lâche petit à petit.

Gazon : 2006= Nadal rate le TB du 3e set alors qu'il faisait jeu égal et lâche prise au 4e... 2007= Nadal rate 2 bdb au 5e

Dur : la seule victoire de Fed remonte à 2005 et il était mené 2 sets zéro (probable blessure de Rafa durant le 3e set)


en y regardant de plus près, y'a qu'en indoor où Fed parvient à contenir Rafa... vu que le 1er arrive toujours en forme en fin de saison et le dernier cramé.

La finale de l’Open d’Australie 2009 confirme si besoin est que l’ère Federer est définitivement terminée. En revanche nul ne peut distinguer une éventuelle fin de règne pour l’espagnol de 22 ans.

La demi finale de Roland Garros 2005 a marqué le début d’une suprématie tactique, physique et psychologique qui a abouti logiquement à la passation de pouvoir de la finale de Wimbledon 2008 confirmée par la finale de l’open d’Australie 2009.

C’est certes facile d’émettre ce type de jugement à posteriori, mais j’essaierai de dissiper par la suite quelques illusions entretenues par les médias conscients qu’une rivalité incertaine dope les ventes de journaux.

Si rivalité il y a, la réalité du jeu montre depuis au moins deux ans que ce n’était qu’une question de temps avant que le suisse ne cède son sceptre.

Dès cette demi finale de Roland Garros 2005, Nadal (et probablement son oncle) avait dévoilé les faiblesses de Federer que tout le circuit désespérait de déceler depuis quelques années: La fragilité du revers de Federer fixé sur le coté gauche du terrain par l’énorme lift du coup droit de gaucher nadalien et sa répugnance à prendre avec constance sa chance au filet même lorsqu’il est dominé de fond de court.

Nadal impose par sa régularité, sa couverture de terrain, la puissance et le lift de ses coups un défi physique et technique à l’adversaire.

Son tennis illustre sa posture psychologique: il annonce comme postulat de départ qu’il ne donnera aucun point (défense) et gagnera du terrain sur chaque frappe, usera l’adversaire jusqu’à’ à ce que celui-ci fasse la faute ou livre une balle facile (attaque).

La plupart du temps en sport les systèmes gagnants sont assez simples et prévisibles, le plus important réside dans leur efficacité.

Le système Federer est plus flou. Si son service n’a pas directement marqué le point ou provoqué une balle courte il balaye le court de ses grands coups de fond de court et selon la situation choisit une option dans sa panoplie technique, probablement la plus complète du circuit.

Federer devait donc pour l’emporter face à Nadal, maintenir sa perfection technique et son intensité psychologique pendant tout un match sans baisser de régime.

Or, le suisse n’ y est pas parvenu que deux matchs sur six en grand chelem (13-6 en tournois officiels pour Nadal) sur la surface la plus favorable à son service à Wimbledon.

La réalité visuelle de leurs matchs c’est que Rafa oblige Fed à piocher dans toutes ses ressources physiques et psychologiques, bref à se surpasser, et que Roger n’arrive pas à l’ emporter ainsi.

Cette rivalité de quatre ans pour la place du numéro un mondial recèle de nombreuses facettes et quelques épisodes marquants avant que la suprématie de Nadal ne soit devenue aussi évidente que maintenant.

Rome 2006 constitue l’épisode charnière, l’un des rares, voire même le seul avant la prise de pouvoir de Rafa ou Fed ait tout donné sur le terrain en dégageant l’impression qu’il pouvait remporter ce match.

Un match épique conclu au tie break du cinquième set, avec cette fameuse balle de match ratée par Roger sur une approche de coup droit.

Federer s’était montré très offensif avec beaucoup de montées au filet et l’utilisation d’un revers le long de la ligne pour contrer la fameuse diagonale du coup droit de Rafa.

Ce match fit monter la pression pour la finale de Roland Garros, Roger survole le premier set face à un timide Nadal mais rate une volée de revers facile au début du deuxième et on assiste à une sorte d’implosion psychique chez le suisse, sans doute la première manifestation du «complexe Nadal». Ce dernier qui paraissait prenable ce jour là, l’emporte grâce à sa volonté et sa combativité.

Troisième match clef: Wimbledon 2007 dans lequel Nadal atteint la finale en démontrant tous ses progrès techniques. Federer l’emporte en un score étrangement semblable à sa future défaite à l’open d’Australie.

Federer qui semblait pourtant avoir en main les options tactiques gagnantes se montre parfois hésitant et se fait sérieusement secouer par un Rafa survolté.

Son service lui permet de remporter ce match acharné, mais sa réaction après le match laisse clairement entendre qu’il a conscience d’avoir seulement repoussé l’échéance.

Quatrième match clef: Roland Garros 2008. Après deux défaites serrées à Monte Carlo et à Hambourg pendant lesquelles Federer a démontré qu’il pouvait rivaliser sur le plan du jeu mais avait manqué de nombreuses balles de break , Nadal arrive en finale dans la peau d’un épouvantail après une succession de victoires en trois sets.

On assiste alors à un match à sens unique entre un joueur en état de grâce et un perdant en manque de confiance qui ne semble pas avoir de tactique définie.

Cinquième match: Wimbledon 2008. Roger égalise à deux sets partout après une formidable réaction d’orgueil mais le service de gaucher de Nadal a bien progressé et ne plie pas dans le cinquième set.

Dernier épisode: Australie 2009. Nadal sort d’une demi finale dantesque contre Verdasco. Federer se bat mais manque quelques points décisifs au premier et au troisième set. C’est lui qui s’effondre au cinquième, la domination de Rafa est désormais complète.

Dans cette confrontation Nadal partait d’un jeu très efficace mais trop limité pour rivaliser avec Federer et quelques autres sur surface rapide.

Inventaire des progrès: Service plus varié, claqué ou slicé avec utilisation de l’effet extérieur sur le revers du droitier.

Revers plus varié également: parfois plat pour gagner de la vitesse ou slicé pour obliger un Gilles Simon à relever une balle facile.

Volée: Très sure, Rafa désormais conscient de sa dextérité utilise davantage l’option du jeu au filet avec beaucoup de réussite.

Tactique: Nadal s’installe plus volontiers à l’intérieur du terrain après quelques échanges pour frapper la balle plus tôt et déborder l’adversaire (une option de jeu peu utilisée contre Verdasco qui l’a pris de vitesse sur ce plan).

Federer partait d’une situation de suprématie sans partage depuis 2004 avec un tennis cristallin qui a dissèqué de façon impressionnante ceux de Roddick et Del Potro pendant le dernier open d’Australie.

Après sa mononucléose du début 2008, chacun a pu constater que parfois le coup droit ne partait plus avec la même vitesse.

Quand au revers il est souvent en service minimum, il faut que Roger soit en pleine forme physique et en confiance pour lâcher ses accélérations décroisées.

Contraint et forcé par l’ascension de Rafa et l’ambition de Murray et Djokovic, Fed a davantage utilisé les montées au filet cette année qui ont l’avantage de s’appuyer sur deux atouts de taille: un gros service et un énorme coup droit décroisé, le seul coup qui lui permette de rivaliser avec Nadal en fond de court.

Bref Nadal partait d’une panoplie nettement plus réduite qui inquiétait déjà Fed à Miami en 2005, sa progression l’a logiquement amené à le surclasser.

Ne nous y trompons pas c’est du définitif, l’espagnol a fini d’abattre le chêne suisse en trois coups de hache: Roland Garros 08, Wimbledon 08, OA 09.

La réaction très inhabituelle de Federer qui a craqué après cette dernière défaite l’illustre parfaitement: Il n’a plus aucune chance contre Nadal et il le sait.

Pourtant une défaite disputée en cinq sets ... Mais non, il y a plus important que le score. Roger a retrouvé une belle condition physique malgré la chaleur australienne et Nadal était éprouvé après son marathon en demi finale.

Cependant l’ascendant tennistique, physique et surtout psychologique de Rafa est désormais évident; il sait le jouer et les victoires accumulées renforcent sa supériorité.

Après, il y a plusieurs styles de champions et de numéro un mondiaux.

Les stylistes comme Edberg, Federer, Sampras.

Les as de la frappe comme Agassi, Connors, Safin

Et les démolisseurs comme Courier, Muster, Nadal

Oui c’est un jour bien triste pour beaucoup d’amateurs de tennis qui voient triompher un tennis bodybuildé, des frappes aux effets extrêmes, une paire de jambes de lapin Duracell et un esprit qui nous parait étranger tant qu’il semble imperméable au doute.

Federer est désormais dépassé, second rôle, c’est une évidence.

Djokovic a encore montré sa fragilité mentale.

Seul Murray a sa chance et peut être Verdasco sur terre battue.

A moins qu’un nouveau surdoué n’ apparaisse et casse la muraille, je crains qu’on en ait encore pour longtemps.

URL TRACKBACK : http://www.sportvox.fr/tb-receive.php3?id_article=23982

> Comment Nadal a détroné Federer
par LittleBigFish (IP:xxx.x3.87.40) le 2 février 2009 à 12H32

Bon article, qui souligne l’incapacité tactique de Federer à s’adapter à un adversaire qu’il connaît pourtant bien. Car s’il est évident que le jeu lifté du gaucher Nadal a tout pour gêner Federer, il l’est aussi que ce dernier garde en théorie suffisamment d’armes pour s’imposer sur rapide, les 2 dernières finales le montrent.

Federer semble en effet bloqué tennistiquement face à Nadal, et la question reste de savoir pourquoi, alors qu’il est entendu qu’il est inférieur en fond de court, le Suisse, qui a fait ses preuves dans le domaine de l’attaque, ne tente pas + actuellement vers l’avant. Les risques ne me sembleraient pas + importants qu’ils ne le sont pour mettre Nadal hors de position du fond de court. D’où vient ce manque de lucidité étonnant ?

Simplement quelques réflexions :

Le jeu d’attaque nécessite un mental d’attaquant, franc et déterminé, au + possible dépourvu de doutes. McEnroe, Edberg ou Becker évoluaient dans une filière claire de mise sous pression permanente de l’adversaire-défenseur, Federer abandonne presque au premier passing. Comme le jeu au filet demande quand même beaucoup de pratique pour être maîtrisé, je ne suis pas certain que Federer ait gardé les capacités techniques de pratiquer ce type de jeu (il est même sûr que non, vu son %age de 1ères en finale), et ses volées manquent aujourd’hui d’attaque. Pour schématiser, le mental de conquérant nécessaire à ce type de jeu, il ne l’a pas. Comment alors faire mal à Nadal ?

Sans parler d’un service-volée permanent, il me semble que Federer joue aujourd’hui - dans le terrain que par le passé, et prend en général la balle beaucoup + tard. Lors de sa domination, on admirait spécialement son 2ème coup de raquette, qui pris balle montante mettait souvent son adversaire hors de position. Aujourd’hui, il ose -, la confiance étant bien entendu primordiale. Quoi qu’on en dise, le physique si important à ce style de jeu a probablement baissé un peu, et Federer ne joue aujourd’hui ce jeu que lorsqu’il est en pleine confiance, comme face à JMDP. Et est il capable d’aborder un match face à Nadal dans ce parfait état d’esprit de détente et de conquête ?, je ne le crois pas. En bref, Federer est actuellement très attentiste face à son adversaire espagnol.

> Comment Nadal a détroné Federer

par YODA (IP:xxx.x01.65.245) le 2 février 2009 à 15H05

Nadal est numéro un mondial. Il a les meilleurs résultats depuis un an. Le sera-t-il encore en fin d’année ? Je n’en sais rien. Est-il le meilleur joueur à l’heure actuelle ? Comptablement oui. Tennistiquement, aux autres de nous prouver le contraire. La seule certitude que j’ai, c’est qu’il est meilleur que Fed en H2H. Comme en club où le même joueur te met la branlée quelque soit alpha, mais perd pourtant contre des gars qui peuvent pas t’inquiéter. Tu n’y peux rien, c’est chiant, mais c’est comme ça. IL sait te jouer, et il sait te battre. Et malgré ton classement supérieur, tes coups "meilleurs", il te bat.

C’est un peu ça. Les amoureux du beau jeu - dont je suis - ne se consolent pas de ce qu’un tennis qu’on juge brutal prenne le dessus quasi systématiquement sur le tennis académique, la perfection de Monsieur Federer. Personne n’aurait été gêné si, comme Fed l’a fait pour Sampras, l’artiste était remplacé par un artiste. ça n’a rien à voir avec un ***** de débat de nationalité à la con, et les blessés à l’âme en quête de rédemption pour leur identité nationale bafouée n’ont qu’à se chercher d’autres terrains d’expressions. ça devient chiant.

Entre les louanges puantes de nationalisme pour tout ce qui provient d’une nation des uns, ou les cris incessants au loup de l’oppression des autres parce qu’ils sont espagnols ou quoi, ça me donne envie de gerber.

Si quelqu’un n’aime pas Nadal parce qu’il est espagnol, c’est un con. c’est aussi simple que ça. pour ma part je fais partie de ceux qui ont le tort de penser que le tennis n’a d’intérêt que s’il est académique, cristalin, et porté vers l’offensive. Du coup le jeu développé par Nadal, Muster ou Courier serait digne du bûcher ? Et l’exemple de Goelzer du match contre Verdasco est excellent pour ramener les cons de cette espèce dont je fais partie à plus de modération.

Nadal est meilleur que Fed, c’est aussi simple que ça. Fed sera-t-il le plus grand ? fera-t-il 15 GC ? remontera-t-il sur le trône ? toutes ces questions auront leurs réponses, mais la réalité dans le H2H est que Nadal est plus fort que Fed point final. Il a le tennis pour le battre, le physique pour le battre, et le mental pour le battre. Il est une sorte de montagne qui se dresse et dont le suisse n’a pas les outils pour l’escalade. s’ils n’étaient que deux sur le circuit, l’ordre serait immuable. Par le jeu des autres joueurs, et des défaites que d’autres que Fed infligeront à Nadal, il enrichira son palmarès certainement et prendra encore plus sa place aux côtés des légendes Borg, Sampras, Laver.

Je pense que même avec 16 GC, Nadal à la manière d’un Armstrong, d’un Schumi, ne sera jamais considéré comme un des leurs par les gardies du temple. L’art est inattaquable, mais la manière frustre les soit disant puristes. *****, me included.

Pourquoi tu copies-colle du sportvox? Ces mecs en conaissent pas plus que nous. Tu encenses Yoda et tu traites Courier de troll. Y en a un s'uil croise un jour Federer ou Nadal il leur demandera un autographe et l'autre à chaque fois qu'il les voit il leur serre la main. Je rappelle aussi que certains il y a 3 semaines annonçaient le début de l'ère Murray. Non mais franchement, un bon de 2" ans qui remplace un bon de 28 ans, y a rien de plus banal. Là c'est surmédiatisé c'est tout. Quand Courier massacre Edberg dans deux finales consécutives à l'AO, à RG et à Wimbledon, on en chiait pas une pendule. Là pour Federer, l'intérêt c'est de gagner les derniers GC pour le bilan comptable. Reprendre la main à Nadal, faudra pas compter dessus.

c'est quoi la différence entre faire du copié collé sur sportvox et le faire à partir d'articles de journaleux ?