Alberto Berrasategui

Un joueur qui m'était sympathique mais qui reste une énigme. Comment peut-on dominer une saison sur terre comme en 1994 pour ensuite ne plus rien faire ou presque ?
Et puis pourquoi ce manque de réussite à Rome ou à Monte-Carlo, Barcelone ou Estoril ? Berrasategui a beaucoup gagné de petits tournois sur terre et finalement dans les grands, il n'était pas toujours là. Alors était-il aussi fort que ça ?
Pourtant son RG 94 reste magnifique, avec des victoires sur Kafelnikov, Ivanisevic ou Pioline. De bonnes perfs à défaut d'énormes victoires. Et pas un set perdu avant de rencontrer Bruguera qui avait sorti de plus gros bras quand même.

Une victoire contre Agassi à l'OA en 1998 reste sa dernière perf avant de disparaître complètement.

Une étoile filante.

J'adorais son fameux coup droit où il retournait complètement son poignet pour frapper avec l'autre côté du tamis. Ca partait à une vitesse phénoménale, les autres joueurs ne comprenaient pas comment ça pouvait arriver

On retiendra surtout de lui son terrifiant coup droit avec le poignet quasi déboité (il tapait avec la même face du tamis qu'en revers !). Une gifle qui lui permettait de trouver des angles hallucinants, coup évidemment hyper efficace sur terre battue vu l'effet de malade qu'il imprimait.

Je crois que son physique n'était pas à la hauteur de l'engagement que nécessitait sa manière de jouer, d'où sa carrière éphémère.

Bah, dans le genre étoile filante mystérieuse, y a Roberto Carretero qui se pose là aussi.

Vydev a écrit:

On retiendra surtout de lui son terrifiant coup droit avec le poignet quasi déboité (il tapait avec la même face du tamis qu'en revers !). Une gifle qui lui permettait de trouver des angles hallucinants, coup évidemment hyper efficace sur terre battue vu l'effet de malade qu'il imprimait.

Je crois que son physique n'était pas à la hauteur de l'engagement que nécessitait sa manière de jouer, d'où sa carrière éphémère.

Pourquoi tu répètes pareil que moi avec des mots différents ?

J'avais pas lu ton post

Bon, tu le décris mieux que moi mais quand même