Arantxa Sánchez Vicario

Arantxa vient de mettre bas

C'est une petite fille

Félicitations à toi Corduroy et passe le bonjour à la maman

Je suis nostalgique de ses matchs contre Graf, principalement à Roland

Vydev a écrit:

Félicitations à toi Corduroy et passe le bonjour à la maman

Apparemment, la gamine s'appelle aussi Arantxa.

En Espagne c'est très courant de donner le prénom des parents aux enfants ainés

C'est complètement malsain.

Arantxa et la petite Arantxa

KID 91 a écrit:

Je suis nostalgique de ses matchs contre Graf, principalement à Roland

j'ai le souvenir d'un jeu interminable à Wimbledon, un grand moment de tennis

Une Sanchez de plus en plus méconnaissable.



Tennistiquement c'était l'équivalent féminin de Chang je trouve qui évolue à la même période.

Et en plus, elle gagne son premier GC hyper jeune au même moment que Chang... Un authentique exploit, surtout face à une joueuse comme Graf qui était déjà expérimentée dans les finales de GC. Elle a réussi à ramasser quelques miettes laissées par Graf et Seles pour se forger un palmarès pas trop mal. Elle était un peu dans la position de Djokovic maintenant : derrière deux gargantuas. On gardera le souvenir d'une joueuse infatigable, d'un mur en défense épuisant les velléités offensives. L'une des meilleures défenseuses que le circuit féminin ait connu.

Je trouve qu'elle est moins moche maintenant que quand elle était joueuse. C'était vraiment une caricature de l'Espagnole dans les pires aspects. Et en plus, y avait Martinez...

Summum de l'élégance Vicarioenne, la balle de tennis clipsée au-dessus des miches, le chic ultime quoi!

C'est sa phénoménale combativité qui m'a le plus marqué chez elle, alliée à un jeu de jambes qui semblait inusable, à tel point qu'aucune balle ne lui paraissait inaccessible. Comme un certain Rafael N. aujourd'hui...

Ses fabuleux duels avec Graf m'avaient électrisé, des finales féminines qui étaient souvent en ce temps d'une intensité énorme. Ma préférée est celle de RG 96 avec deux joueuses totalement galvanisées, un Central chaud-bouillant, et cerise sur le gâteau une victoire de Graf au bout du suspense.